Plusieurs ministres autrichiens sont nostalgiques du régime nazi
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Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le Rassemblement national est-il un parti fasciste ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, La civilisation est-elle en train de s'effondrer ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Éric Zemmour est-il fasciste ?, Le Rassemblement National est-il un parti d'extrême-droite ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme doit-il être réformé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ?, L'état global de l'humanité s'améliore-t-il depuis quelques décennies ? et Pour ou contre le wokisme ?.
Cet argument est une justification de Le fascisme et le nazisme n'ont pas disparu et Le néolibéralisme alimente une montée du fascisme.
Cet argument est une objection à En Europe de l'ouest, il n'y a pas de parti de masse néonazi, Il n'y a pas de mouvement de masse ni de grand parti se réclamant du nazisme ou du racisme, ce sont des fantasmes et Le néonazisme et le néofascisme ne représentent quasiment rien.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« L’Autriche compte désormais des adeptes d'Adolf Hitler parmi ses ministres »
Auteur non renseigné, « Tentative d'imposer la police libérale de la pensée à l'école : le MR mis en échec », Parti du Travail de Belgique, 14 novembre 2018.