Les "démocraties" occidentales n'ont aucun problème à soutenir, voire provoquer des coups d'états au profit de dirigeants servant leurs intérêts
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Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Est-il nécessaire de relancer la natalité en France ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, Les pays de l'OTAN doivent-ils sanctionner la Russie pour son invasion de l'Ukraine ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ? et Faut-il accepter l'immigration ?.
Cet argument est une justification de Les "démocraties" de l'OTAN n'ont aucun problème avec les dictatures qui servent leurs intérêts.
Mots-clés : aucun
Résumé
Notamment au Guatemala dans les années 50, où les USA ont fait une intervention militaire pour remplacer un chef d'état progressiste par une dictature servant leurs intérêts.
Citations
« L’exemple de la Bolivie est d’ailleurs particulièrement illustratif de l’assujettissement de l’institution européenne à la première puissance mondiale. Alors qu’elle avait renversé un gouvernement élu et fait réprimer dans le sang le peuple révolté, elle avait non seulement été légitimée par l’Union européenne, mais elle avait en plus été proposée au prix Sarkharov en 2021, censée honorer les personnes qui ont consacré leur existence aux droits humains. »
Victoria Berni, « L’Union Européenne au service du capitalisme en 5 exemples », Mr Mondialisation, 29 août 2023.