La France a maintenu en place le dictateur Tchadien Idriss Déby pour sauvegarder ses intérêts sur place
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Cet argument est utilisé dans les débats L'Europe occidentale est-elle en déclin ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Est-il nécessaire de relancer la natalité en France ?, Etre de gauche, est-ce nécessairement être favorable à l'immigration de masse ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, Les pays de l'OTAN doivent-ils sanctionner la Russie pour son invasion de l'Ukraine ?, Faut-il débattre avec l'ennemi ?, Le capitalisme doit-il être renversé ?, Le capitalisme peut-il être réformé ?, Le marxisme doit-il être abandonné ? et Faut-il accepter l'immigration ?.
Cet argument est une justification de Les "démocraties" de l'OTAN n'ont aucun problème avec les dictatures qui servent leurs intérêts.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Du moment que la clique choisie par l’Élysée est au pouvoir et que les affaires de la bourgeoisie française prospèrent, l’État français s’accommode des pires dictatures. Ce fut le cas de celle d’Idriss Déby, qui tint le Tchad d’une main de fer trente ans durant. Il a maintenu son peuple dans la misère et étouffé dans le sang toute contestation, mais c’était un ami et un allié de la France, utile pour préserver l’influence française dans la région et contenir les bandes terroristes. À sa mort, en avril 2021, Macron se rendit à ses obsèques et lui rendit un vibrant hommage sur le thème : « La France perd un ami courageux. » »
Nathalie Arthaud, Communiste, révolutionnaire, internationaliste !, Les bons caractères, 2022.