Il ne peut y avoir de bon président pour les travailleurs dans le cadre de la société capitaliste
Cet argument est utilisé dans les débats La France est-elle une démocratie ?, La liberté d'expression doit-elle être limitée ?, Le communisme a-t-il encore un avenir ?, Le marxisme est-il intolérant et totalitaire par nature ?, La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?, Le néolibéralisme doit-il s'effondrer ?, Pour ou contre le wokisme ?, Le capitalisme doit-il être réformé ? et Le capitalisme peut-il être réformé ?.
Cet argument est une justification de Les élections n'apportent pas d'améliorations notables dans la vie des gens.
Résumé
Citations
« Il ne peut y avoir de bon président pour les travailleurs dans le cadre de la société capitaliste. Tout au plus, les mieux disposés vis-à-vis des travailleurs mettront-ils un emplâtre sur une jambe de bois, mais la bourgeoisie leur imposera de gérer le système sans toucher à ses bases. Tant que la bourgeoisie leur laisse un peu d’argent dans les caisses de l’État, et en temps de crise c’est de moins en moins le cas, ils investiront dans quelques infrastructures et services publics utiles, rénoveront des voies ferrées et des hôpitaux... Mais, quand bien même l’auraient-ils promis mille fois, jamais ils ne toucheront à l’exploitation, à cette machine à fabriquer et à creuser les inégalités. Et, de ronron électoral en ronron électoral, politiciens et journalistes déploreront que le chômage, la misère et les violences rongent la société, que l’on ne sorte pas de la crise, que la planète se réchauffe et que l’environnement se dégrade. »
