Les réseaux sociaux sont complaisant avec les groupes fascistes par intérêt économique

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RésuméRésumé

CitationsCitations

« Pour Anna-Lena Von Hodenberg, présidente d’une association d’aide aux victimes allemande, les réseaux sociaux gagnent de l’argent grâce à ces contenus haineux qui fonctionnent mieux :« La haine fait partie de leur business model. » »

« Notre association administre également un groupe privé de « signalement concert », et vous n’imaginez pas combien c’est dur de voir nos signalements retournés par les autorités de facebook comme « ne contrevenant pas à la politique de diffusion de facebook ». Disons le ce genre de publications pullulent sur facebook, et celui-ci ne fait … rien.

Sauf que maintenant, nous avons la preuve que facebook peut faire quelque chose. Sauf que les gros diffuseurs de ce genre de publications PAYENT facebook. Ce sont des annonceurs qui rapportent à cette entreprise… Il faut donc être clair, facebook accepte la présence de l’extrême droite sur son réseau, parce que celle-ci l’enrichit.

Nous sommes donc devant une attitude particulièrement odieuse de Facebook qui joue double jeu sur ce sujet. »

Sutter Cane, « Facebook et Twitter aiment bien l’extrême droite qui rapporte », Debunkers de hoax, 31 août 2019.

RéférencesRéférences

Arguments pourJustifications

Arguments contreObjections

  • Argument contreLes contenus haineux proviennent de gens sexistes, islamistes, d'extrême gauche autant que des "fascistes"
  • Argument contreLes leaders d'opinion situés à droite sont très souvent censurés sur les réseaux sociaux (ex. Trump)
  • Argument contreLes capitalistes détenteurs des GAFAM partagent une idéologie progressiste et silencient quand ils le peuvent les conservateurs