La liaison Lyon-Turin favoriserait le transfert modal, réduirait le trafic routier et diminuerait les émissions de CO2

Cet argument est utilisé dans le débat Faut-il construire la ligne ferroviaire transalpine Lyon - Turin ?.

Cet argument est un argument « pour » dans le débat Faut-il construire la ligne ferroviaire transalpine Lyon - Turin ?.

Mots-clés : aucun

Résumé

Selon une estimation de rentabilité carbone mentionnée dans un rapport de la Cour des comptes européenne, la construction de la liaison ferroviaire Lyon-Turin permettrait d'éviter chaque année une quantité estimée entre 0,2 et 0,4 million de tonnes d'émissions de dioxyde de carbone (CO2). En offrant une alternative au transport routier, cette liaison favoriserait le transfert modal des marchandises et des passagers vers le rail, réduisant ainsi les émissions de CO2 générées par les véhicules.

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« For example, the French infrastructure manager estimated in 2012 that constructing the Lyon-Turin cross-border link, together with its access lines, would produce 10 million tons of CO2 emissions. According to its estimations, the TFI will not produce a net benefit in terms of CO2 emissions until 25 years after the start of the works. But on the basis of the same traffic forecasts, our experts concluded that CO2 emissions would not be offset until 25 years after the infrastructure enters into service. Moreover, that prediction depends on traffic levels: if traffic levels only reach half of the predicted level, it will take 50 years from the entry into operation of the infrastructure before the CO2 emissions produced by building it are offset. »

Auteur non renseigné.

Références

Justifications

Objections

Débat parent