Les dominants auraient tout à fait les moyens financiers d'échapper aux conséquences de la crise écologique
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Cet argument est utilisé dans le débat La violence est-elle nécessaire aux progrès socio-politiques ?.
Cet argument est une objection à Les dominants n'ont pas intérêt à des catastrophes écologiques majeures, qui les impacteraient aussi.
Mots-clés : aucun
Résumé
Citations
« Si les effondrements successifs de notre humanité toucheront d’abord les plus pauvres, pourtant les moins pollueurs, c’est bien in fine les plus riches, donc les plus délétères, qui auront accès à une terre dépeuplée et aux ressources à disposition. Souhaiter notre fin, c’est servir sur un plateau un nouveau départ à cette minorité. »
Auteur non renseigné, « Effondrement de la civilisation : une bonne chose pour la planète ? Vraiment ? », Mr Mondialisation, 19 juin 2021.
« Face au désastre environnemental en cours, les riches se préparent déjà à en affronter les conséquences. Bon nombre d’entre eux mettent ainsi sur pied des projets pharaoniques pour assurer leurs arrières. Et tant pis pour les autres. »
Simon Verdière, « 4 stratégies de riches pour échapper à la fin du monde », Mr Mondialisation, 8 janvier 2024.